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Vendredi 2 Août : second vernissage-cocktail à Cambo-les-Bains avec Robert Poulou de belles rencontres. j'y ai dévoilé ma dernière tapisserie en hommage Cyrano de Bergerac.

C'est une grande tapisserie originale, pure laine tuftée main, réalisée avec 45 fils de couleurs différentes, à partir d’un de mes tableaux de la série Panache, « Mon Cyrano » Un mois de travail et de collaboration artistique avec des maîtres tapissiers pour une réalisation exceptionnelle. 

Taille du tableau :1,16 par 0,90 mètres Taille de la tapisserie 2,60 par 2 mètres 

Dans la pièce d’Edmond Rostand, Roxane privilégie la beauté intérieure de Cyrano à la beauté extérieure passagère de Christian. Ses derniers mpots sont PANACHE...

C’est un sujet toujours actuel :l’intériorité est plus importante que les apparences. Pourquoi un tel projet ? Ce projet de tapisserie correspond à une renaissance de mon travail. De 2014 à 2018 , j ‘ai repris un cycle d’études aux ateliers des Beaux-arts de Paris. J’ai changé mon procédé mental et choisi de mélanger plusieurs écritures picturales dans un même tableau : le collage, la peinture, l’encre. J’étais tellement heureuse du résultat que j’ai décidé de me lancer dans la réalisation de tapisseries de grand format. 

Hizelaya Artiste plasticienne basque. 

L univers d'Hizelaya sur son blog http://www.hizelaya-leblog.fr 

et 

https://www.hizelaya.fr/

 SAVE THE DATE ! Nadia Khodossievitch-Léger (1904-1982) a été une figure de l’art du XX e siècle. À travers plus de 150 œuvres, la rétrospective Nadia Léger. Une femme d’avant-garde retrace le parcours largement méconnu de cette femme d’exception, tout à la fois peintre prolifique, éditrice de revue, collaboratrice de son époux Fernand Léger, résistante, bâtisseuse de musées et fervente militante communiste. L’exposition suit son itinéraire de son village natal biélorusse à Paris, les influences qu’elle a subies et les communautés artistiques qu’elle a côtoyées. Grâce à des dialogues inédits avec les œuvres de Fernand Léger, Pablo Picasso, et des élèves de l’Atelier Léger (Nicolas de Staël, Hans Hartung, Marcelle Cahn…), l’exposition explore l’univers de cette adepte des aventures collectives. Artiste avant tout, son œuvre picturale n’a cessé d’évoluer au contact des avant-gardes de son temps, en tension constante entre abstraction et figuration. Du cubisme au suprématisme, du suprématisme au réalisme et un retour au suprématisme, sa production témoigne d’une capacité à se réinventer, illustrée par une signature changeant au gré des étapes de sa vie créatrice. Plus d'infos »

 

Vendredi 2 Août : second vernissage-cocktail  à Cambo-les-Bains avec Robert Poulou de belles rencontres et un très bel article dans Sud-Ouest😍

 

En avant première mondiale et basque voici le bas de la tapisserie et les jambes de Cyrano auquel cette nouvelle tapisserie rend hommage!

Mais au fait pourquoi une tapisserie :-)

Un peu de technique tout d'abord: 

Une tapisserie originale une pièce unique, réalisée dans une tapisserie d'art en Estonie à partir de pure laine tuftée main, réalisée avec 45 fils de couleurs différentes, à partir d’un des tableaux de la série Panache, « Mon Cyrano »

Un mois de travail pour une réalisation exceptionnelle. Taille du tableau :1,16 par 0,90 mètres Taille de la tapisserie 2,60 par 2 mètres Sujet: Dans la pièce d’Edmond Rostand (qui se termine par ces mots..."Panache"..., Roxane privilégie la beauté intérieure de Cyrano à la beauté extérieure éhémère de Christian. 

C’est bien sur un sujet toujours actuel : l’intériorité est plus importante que les apparences. 

Pourquoi un tel projet ? 

Ce projet de tapisserie s'inscrit dans une renaissance de mon travail. De 2014 à 2018 , j'ai repris un cycle d’études aux ateliers des Beaux-arts de Paris. J’ai changé mon procédé mental et redirigé ma créativité et  choisi de mélanger plusieurs écritures picturales dans un même tableau : le collage, la peinture, l’encre. J’étais tellement heureuse et satisfaite d'avoir osé que j’ai décidé d'aller encore plus loin avec la réalisation de tapisseries de grand format. 

A vous de juger du résultat dans ma prochaine exposition à Cambo les bains !

En attendant cliquer pour découvrir le travail sur la tapisserie.

 

« La fleur » encre noire et peinture sur plexiglas 90/60

La Beauté sauvera le Monde.Hizelaya nous donnait rendez-vous le 18 juin à l'occasion du premier vernissage de La Maison du Bien Commun.

60 oeuvres exposées et vendues au profit de l'association. C'est l'occasion de se faire plaisir tout en faisant une bonne action ! 

 

La première communauté des acteurs engagés au service du Bien Commun: la Maison du Bien Commun propose aux entrepreneurs, dirigeants, salariés d'entreprises, responsables associatifs, indépendants de se rassembler, s’inspirer, se former, s’entraider et agir ensemble au service d’un monde plus juste, plus durable et plus humain. C’est un lieu d’échange, de prise de conscience et d’éveil sur ce que nous pouvons bâtir tous ensemble. Un lieu emblématique pour former une génération engagée au service du Bien Commun. 

  Robert Poulou (adjoint au maire de Cambo les Bains) interviewé dans les jardins d'Arnaga, la demeure d' Edmond Rostand, présente en "exclusivité" l'affiche de la prochaine exposition d'Hizelaya sur  laquelle on reconnait Cyrano et la demeure de son créateur!

La tirade ... by Hizelaya Cambo-les-Bains - Espace culturel AssantzaExposition personnelle: du lundi 16 Juillet au dimanche 3 août 2024 Hizelaya est née dans une famille d’artistes peintre dans le Nord de la France. Pendant toute sa jeunesse, l’art français et notamment l’art régionaliste n’était pas à la mode. Elle a grandi à une époque où la France, après guerre, était passionnée par l’expressionnisme américain. Mais tout à changé en installant son atelier au pays basque il y a 40 ans. La peinture locale l’a émue. Elle a commencé à peindre en s’inspirant des peintres comme Ramiro Arrue, Georges Masson, Pablo Tillac. Elle s’est intéressée aux peintres basques espagnols Ignacio Zuloaga, José Arrue … « Pour moi , la peinture régionaliste doit être réinterprétée pour s’inscrire dans notre époque. Très librement, j’ai choisi de garder les thèmes et de modifier les supports et les médiums » Je suis ravie de présenter quatre nouvelles séries dans cette si belle ville de Cambo les Bains: LES SABLES Dans l’esprit du peintre Miquel Barcelo, j’ai peint dès le début des années 2000 en utilisant le sable mélangé avec des pigments. Au couteau ou au pinceau. LES COLLES Mes premiers collages datent de 2004. J’en réalise un chaque année à partir de papiers et tissus que je brule et déchire. Le format que j'utilise est toujours identique M30 (90/60). J’en connais les moindres recoins. Au moment où je me tiens comme en suspens dans ce qui vient sur la toile, au moment où sont presentes les hésitations, les questions, ce “format – cocon” me sauve et m’incite à toutes les fulgurances. LES RAYES Je chéris depuis toujours la toile basque en lin, celle qui recouvrait les boeufs pour les protéger de la chaleur. La finesse de la trame, le relief que l’on palpe sous les doigts. Ces rayures bayadères qui accompagnent nos déjeuners festifs et enjolivent nos maisons, j’ai ressenti la nécessité de leur accorder une deuxième vie, sous mes pinceaux » "L’artiste a pour mission d’esthetiser la vie de réenchanter le monde de lui rendre une dimension magique." (Kant) LES « PLEXIPEINTURES » Hizelaya peint à l'encre ou à l'huile sur une plaque de plexiglas, d'aluminium ou de cuivre. La peinture est ensuite pressée sur un papier, un drap... Puis l'artiste travaille ses effets en ajoutant d'autres matériaux pour un résultat tout à fait mystérieux. Séance photo des tableaux en préparation de l´exposition de Cambo , avec la photographe Solveig Herrstrom

 

THE INFINITE WOMAN 27 AVRIL – 3 NOVEMBRE 2024 VILLA CARMIGNAC, ÎLE DE PORQUEROLLES

La Fondation Carmignac présente l’exposition The Infinite Woman à la Villa Carmignac, sur l’île de Porquerolles, au large d’Hyères (Var), du samedi 27 avril au dimanche 3 novembre 2024, sous le commissariat d’Alona Pardo. Fortes, lascives, fatales, soignantes, démoniaques, mythiques, les femmes ont été représentées de nombreuses manières à travers les siècles pour répondre à une vision patriarcale du monde. Puisant dans les mythes originels jusqu’aux représentations les plus contemporaines ou subversives des corps féminins, l’exposition The Infinite Woman propose de remettre en lumière leur potentiel émancipateur, de la réappropriation du désir jusqu’à l’élévation des corps désobéissants qui bouleversent les conventions occidentales de la beauté et du pouvoir. Tissant le récit d’artistes qui, quel que soit leur genre, ont su défier non seulement les normes sociales, mais aussi les limites de l’art et de ses catégories oppressives, l’exposition The Infinite Woman trouble les limites du genre et invite à une redéfinition des féminité.e.s dans l’art. De Sandro Botticelli à Judy Chicago en passant par Annette Messager, Michael Armitage, John Currin, Loie Hollowell, Lisa Yuskavage, Lee Bul ou encore Martine Gutierrez et Billie Zangewa, l’exposition associe des œuvres majeures de la Collection Carmignac (Sandro Botticelli, Andy Warhol, Roy Lichtenstein) avec des prêts exceptionnels (Louise Bourgeois / Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, Mary Beth Edelson / TATE), ainsi que des productions réalisées spécifiquement pour l’exposition (France-Lise McGurn).